La kasbah d’Agafay

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La kasbah d’Agafay









La kasbah d’Agafay un des rares bijoux de Dadès a été construite au début des années quarante, l’année dit Aam Alboune 1942 par le grand Amghar de la fraction de Ait Hamou de 
  Majestueuse forteresse de terre située sur la rive droite de l’assif de Dadès  résiste encore   aux aléas du climat, dotée d’une position dominante avec 4 tours de guet afin de surveiller la vallée, elle  offre une décoration intérieure d’une richesse importante, les parties supérieures sont quant à elles   décorées de motifs géométriques d’inspirations amazighes. Aujourd’hui  La Kasbah Agafay , patrimoine délaissé, est soumises à la négligence , vétuste , en ruine avancée , lance un dernier défi au temps  et à l’érosion. Plusieurs causes expliquent cette dégradation, historique et climatique . Historiquement ces demeures fortifiés étaient celles des vassaux  du pacha Thami  Elglaoui , l’allié et le grand  collaborateur incontournable de la France coloniale qui était derrière l’exil et la déposition du feu Sa Majesté le Roi Mohamed V en 1953, à cet effet,   il réunit à Telouete dans sa splendide kasbah  les grands Imgharnes et  les grands caids   de l’époque pour signer la pétition publique de déposition du sultan. L’émergence de Nationalisme réinstalla Le Roi   Mohamed V sur le trône comme Roi légitime, en 1956 le Maroc retrouva son indépendance, le dernier seigneur de l’Atlas meurt et ses biens sont confisqués. Ses kasbahs et celles de ses suzerains sont laissées à l’abandon, elles s’écroulent faute de l’entretien.  Le Temps  vengeur, ironie du sort et de l’histoire  !! Au début de siècle l’armée de Thami Elglaoui , munie du canon Krupp offert par le sultan Moulay Hassan I détruit plusieurs Kasbahs à coup d’artillerie pour soumettre le bled Siba aux  Français. Le problème climatique vient s’ajouter au politique, les pluies violentes menacent les Kasbahs déjà en détresse, et à cela s’ajoute l’exode, elles ne sont plus habitées, désormais  elles abritent plutôt des fantômes de l’époque coloniale. Le problème doit être pris au sérieux pour sauver ces merveilles, ces joyaux, et ces plus beaux spécimens de cette remarquable architecture de terre. Il faut prendre conscience de la valeur de ces chefs d’œuvres, nous n’avons pas le droit d’assister passivement à la destruction de notre histoire, de notre civilisation,  de notre culture. Ces kasbahs doivent être bénéficié d’un programme d’aide pour  permettre une restauration dans le respect des procédés anciens de construction. Les associations doivent multiplier les actions, les initiatives et surtout les appels et les SOS  de détresse pour amener les pouvoirs publics à élaborer un véritable plan d’action et de restauration de ces kasbahs laissées  quasiment à l’abandon .Agissons-nous avant qu’il ne soit  trop tard et  ne deviennent des amas de terres !!! Si rien n’est fait, leur centenaire est fort probable de ne pas être  célébré. Le Vicomte Charle de Foucault  de passage dans la région de Dadès   aux environs de 1888  décrit ces chefs d’œuvres dans son ouvrage « Reconnaissance au Maroc »  comme les meilleures réalisations de l’histoire humaine Les grattes ciel  de l’époque !!! Ali Haddouchi Dadès infos Dadès Alhaj Moh Ouaabsellam .Elle fut par la suite considérablement agrandie au cours de la première moitié des années cinquante , c’est la dernière Kasbah des familles Imgharnes qui fut construite dans le grand Dadès après les kasbahs jumelles de l’Amghar cheikh Lhou Amzile et d’Ait Ouzza de Boumalne n’dades à la fin des années dix , celle de Belmadani Elglaoui à Ait Youl , celle de Hamou Ourhou à Lgoumette dadès en 1922 , celle de Ait Said à ait Hddouch en 1925 , celle de Mouhddach ould haj Faska en 1937 qui délimite les frontières de Ait Aatta et les Ait Sdratte jabalia.


  Majestueuse forteresse de terre située sur la rive droite de l’assif de Dadès  résiste encore   aux aléas du climat, dotée d’une position dominante avec 4 tours de guet afin de surveiller la vallée, elle  offre une décoration intérieure d’une richesse importante, les parties supérieures sont quant à elles   décorées de motifs géométriques d’inspirations amazighes. Aujourd’hui  La Kasbah Agafay , patrimoine délaissé, est soumises à la négligence , vétuste , en ruine avancée , lance un dernier défi au temps  et à l’érosion. Plusieurs causes expliquent cette dégradation, historique et climatique . Historiquement ces demeures fortifiés étaient celles des vassaux  du pacha Thami  Elglaoui , l’allié et le grand  collaborateur incontournable de la France coloniale qui était derrière l’exil et la déposition du feu Sa Majesté le Roi Mohamed V en 1953, à cet effet,   il réunit à Telouete dans sa splendide kasbah  les grands Imgharnes et  les grands caids   de l’époque pour signer la pétition publique de déposition du sultan. L’émergence de Nationalisme réinstalla Le Roi   Mohamed V sur le trône comme Roi légitime, en 1956 le Maroc retrouva son indépendance, le dernier seigneur de l’Atlas meurt et ses biens sont confisqués. Ses kasbahs et celles de ses suzerains sont laissées à l’abandon, elles s’écroulent faute de l’entretien.  Le Temps  vengeur, ironie du sort et de l’histoire  !! Au début de siècle l’armée de Thami Elglaoui , munie du canon Krupp offert par le sultan Moulay Hassan I détruit plusieurs Kasbahs à coup d’artillerie pour soumettre le bled Siba aux  Français. Le problème climatique vient s’ajouter au politique, les pluies violentes menacent les Kasbahs déjà en détresse, et à cela s’ajoute l’exode, elles ne sont plus habitées, désormais  elles abritent plutôt des fantômes de l’époque coloniale. Le problème doit être pris au sérieux pour sauver ces merveilles, ces joyaux, et ces plus beaux spécimens de cette remarquable architecture de terre. Il faut prendre conscience de la valeur de ces chefs d’œuvres, nous n’avons pas le droit d’assister passivement à la destruction de notre histoire, de notre civilisation,  de notre culture. Ces kasbahs doivent être bénéficié d’un programme d’aide pour  permettre une restauration dans le respect des procédés anciens de construction. Les associations doivent multiplier les actions, les initiatives et surtout les appels et les SOS  de détresse pour amener les pouvoirs publics à élaborer un véritable plan d’action et de restauration de ces kasbahs laissées  quasiment à l’abandon .Agissons-nous avant qu’il ne soit  trop tard et  ne deviennent des amas de terres !!! Si rien n’est fait, leur centenaire est fort probable de ne pas être  célébré. Le Vicomte Charle de Foucault  de passage dans la région de Dadès   aux environs de 1888  décrit ces chefs d’œuvres dans son ouvrage « Reconnaissance au Maroc »  comme les meilleures réalisations de l’histoire humaine Les grattes ciel  de l’époque !!! Ali Haddouchi Dadès infos   Majestueuse forteresse de terre située sur la rive droite de l’assif de Dadès  résiste encore   aux aléas du climat, dotée d’une position dominante avec 4 tours de guet afin de surveiller la vallée, elle  offre une décoration intérieure d’une richesse importante, les parties supérieures sont quant à elles   décorées de motifs géométriques d’inspirations amazighes. Aujourd’hui  La Kasbah Agafay , patrimoine délaissé, est soumises à la négligence , vétuste , en ruine avancée , lance un dernier défi au temps  et à l’érosion. Plusieurs causes expliquent cette dégradation, historique et climatique . Historiquement ces demeures fortifiés étaient celles des vassaux  du pacha Thami  Elglaoui , l’allié et le grand  collaborateur incontournable de la France coloniale qui était derrière l’exil et la déposition du feu Sa Majesté le Roi Mohamed V en 1953, à cet effet,   il réunit à Telouete dans sa splendide kasbah  les grands Imgharnes et  les grands caids   de l’époque pour signer la pétition publique de déposition du sultan. L’émergence de Nationalisme réinstalla Le Roi   Mohamed V sur le trône comme Roi légitime, en 1956 le Maroc retrouva son indépendance, le dernier seigneur de l’Atlas meurt et ses biens sont confisqués. Ses kasbahs et celles de ses suzerains sont laissées à l’abandon, elles s’écroulent faute de l’entretien.  Le Temps  vengeur, ironie du sort et de l’histoire  !! Au début de siècle l’armée de Thami Elglaoui , munie du canon Krupp offert par le sultan Moulay Hassan I détruit plusieurs Kasbahs à coup d’artillerie pour soumettre le bled Siba aux  Français. 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Les associations doivent multiplier les actions, les initiatives et surtout les appels et les SOS  de détresse pour amener les pouvoirs publics à élaborer un véritable plan d’action et de restauration de ces kasbahs laissées  quasiment à l’abandon .Agissons-nous avant qu’il ne soit  trop tard et  ne deviennent des amas de terres !!! Si rien n’est fait, leur centenaire est fort probable de ne pas être  célébré. Le Vicomte Charle de Foucault  de passage dans la région de Dadès   aux environs de 1888  décrit ces chefs d’œuvres dans son ouvrage « Reconnaissance au Maroc »  comme les meilleures réalisations de l’histoire humaine Les grattes ciel  de l’époque !!! 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Historiquement ces demeures fortifiés étaient celles des vassaux  du pacha Thami  Elglaoui , l’allié et le grand  collaborateur incontournable de la France coloniale qui était derrière l’exil et la déposition du feu Sa Majesté le Roi Mohamed V en 1953, à cet effet,   il réunit à Telouete dans sa splendide kasbah  les grands Imgharnes et  les grands caids   de l’époque pour signer la pétition publique de déposition du sultan. L’émergence de Nationalisme réinstalla Le Roi   Mohamed V sur le trône comme Roi légitime, en 1956 le Maroc retrouva son indépendance, le dernier seigneur de l’Atlas meurt et ses biens sont confisqués. Ses kasbahs et celles de ses suzerains sont laissées à l’abandon, elles s’écroulent faute de l’entretien.  Le Temps  vengeur, ironie du sort et de l’histoire  !! Au début de siècle l’armée de Thami Elglaoui , munie du canon Krupp offert par le sultan Moulay Hassan I détruit plusieurs Kasbahs à coup d’artillerie pour soumettre le bled Siba aux  Français. Le problème climatique vient s’ajouter au politique, les pluies violentes menacent les Kasbahs déjà en détresse, et à cela s’ajoute l’exode, elles ne sont plus habitées, désormais  elles abritent plutôt des fantômes de l’époque coloniale. Le problème doit être pris au sérieux pour sauver ces merveilles, ces joyaux, et ces plus beaux spécimens de cette remarquable architecture de terre. Il faut prendre conscience de la valeur de ces chefs d’œuvres, nous n’avons pas le droit d’assister passivement à la destruction de notre histoire, de notre civilisation,  de notre culture. Ces kasbahs doivent être bénéficié d’un programme d’aide pour  permettre une restauration dans le respect des procédés anciens de construction. Les associations doivent multiplier les actions, les initiatives et surtout les appels et les SOS  de détresse pour amener les pouvoirs publics à élaborer un véritable plan d’action et de restauration de ces kasbahs laissées  quasiment à l’abandon .Agissons-nous avant qu’il ne soit  trop tard et  ne deviennent des amas de terres !!! Si rien n’est fait, leur centenaire est fort probable de ne pas être  célébré. Le Vicomte Charle de Foucault  de passage dans la région de Dadès   aux environs de 1888  décrit ces chefs d’œuvres dans son ouvrage « Reconnaissance au Maroc »  comme les meilleures réalisations de l’histoire humaine Les grattes ciel  de l’époque !!! Ali Haddouchi Dadès infos
  Majestueuse forteresse de terre située sur la rive droite de l’assif de Dadès  résiste encore   aux aléas du climat, dotée d’une position dominante avec 4 tours de guet afin de surveiller la vallée, elle  offre une décoration intérieure d’une richesse importante, les parties supérieures sont quant à elles   décorées de motifs géométriques d’inspirations amazighes. Aujourd’hui  La Kasbah Agafay , patrimoine délaissé, est soumises à la négligence , vétuste , en ruine avancée , lance un dernier défi au temps  et à l’érosion. Plusieurs causes expliquent cette dégradation, historique et climatique . Historiquement ces demeures fortifiés étaient celles des vassaux  du pacha Thami  Elglaoui , l’allié et le grand  collaborateur incontournable de la France coloniale qui était derrière l’exil et la déposition du feu Sa Majesté le Roi Mohamed V en 1953, à cet effet,   il réunit à Telouete dans sa splendide kasbah  les grands Imgharnes et  les grands caids   de l’époque pour signer la pétition publique de déposition du sultan. L’émergence de Nationalisme réinstalla Le Roi   Mohamed V sur le trône comme Roi légitime, en 1956 le Maroc retrouva son indépendance, le dernier seigneur de l’Atlas meurt et ses biens sont confisqués. Ses kasbahs et celles de ses suzerains sont laissées à l’abandon, elles s’écroulent faute de l’entretien.  Le Temps  vengeur, ironie du sort et de l’histoire  !! Au début de siècle l’armée de Thami Elglaoui , munie du canon Krupp offert par le sultan Moulay Hassan I détruit plusieurs Kasbahs à coup d’artillerie pour soumettre le bled Siba aux  Français. Le problème climatique vient s’ajouter au politique, les pluies violentes menacent les Kasbahs déjà en détresse, et à cela s’ajoute l’exode, elles ne sont plus habitées, désormais  elles abritent plutôt des fantômes de l’époque coloniale. Le problème doit être pris au sérieux pour sauver ces merveilles, ces joyaux, et ces plus beaux spécimens de cette remarquable architecture de terre. Il faut prendre conscience de la valeur de ces chefs d’œuvres, nous n’avons pas le droit d’assister passivement à la destruction de notre histoire, de notre civilisation,  de notre culture. Ces kasbahs doivent être bénéficié d’un programme d’aide pour  permettre une restauration dans le respect des procédés anciens de construction. Les associations doivent multiplier les actions, les initiatives et surtout les appels et les SOS  de détresse pour amener les pouvoirs publics à élaborer un véritable plan d’action et de restauration de ces kasbahs laissées  quasiment à l’abandon .Agissons-nous avant qu’il ne soit  trop tard et  ne deviennent des amas de terres !!! Si rien n’est fait, leur centenaire est fort probable de ne pas être  célébré. Le Vicomte Charle de Foucault  de passage dans la région de Dadès   aux environs de 1888  décrit ces chefs d’œuvres dans son ouvrage « Reconnaissance au Maroc »  comme les meilleures réalisations de l’histoire humaine Les grattes ciel  de l’époque !!! 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Le problème climatique vient s’ajouter au politique, les pluies violentes menacent les Kasbahs déjà en détresse, et à cela s’ajoute l’exode, elles ne sont plus habitées, désormais  elles abritent plutôt des fantômes de l’époque coloniale. Le problème doit être pris au sérieux pour sauver ces merveilles, ces joyaux, et ces plus beaux spécimens de cette remarquable architecture de terre. Il faut prendre conscience de la valeur de ces chefs d’œuvres, nous n’avons pas le droit d’assister passivement à la destruction de notre histoire, de notre civilisation,  de notre culture. Ces kasbahs doivent être bénéficié d’un programme d’aide pour  permettre une restauration dans le respect des procédés anciens de construction. Les associations doivent multiplier les actions, les initiatives et surtout les appels et les SOS  de détresse pour amener les pouvoirs publics à élaborer un véritable plan d’action et de restauration de ces kasbahs laissées  quasiment à l’abandon .Agissons-nous avant qu’il ne soit  trop tard et  ne deviennent des amas de terres !!! Si rien n’est fait, leur centenaire est fort probable de ne pas être  célébré. Le Vicomte Charle de Foucault  de passage dans la région de Dadès   aux environs de 1888  décrit ces chefs d’œuvres dans son ouvrage « Reconnaissance au Maroc »  comme les meilleures réalisations de l’histoire humaine Les grattes ciel  de l’époque !!! Ali Haddouchi Dadès infos   Majestueuse forteresse de terre située sur la rive droite de l’assif de Dadès  résiste encore   aux aléas du climat, dotée d’une position dominante avec 4 tours de guet afin de surveiller la vallée, elle  offre une décoration intérieure d’une richesse importante, les parties supérieures sont quant à elles   décorées de motifs géométriques d’inspirations amazighes. Aujourd’hui  La Kasbah Agafay , patrimoine délaissé, est soumises à la négligence , vétuste , en ruine avancée , lance un dernier défi au temps  et à l’érosion. Plusieurs causes expliquent cette dégradation, historique et climatique . Historiquement ces demeures fortifiés étaient celles des vassaux  du pacha Thami  Elglaoui , l’allié et le grand  collaborateur incontournable de la France coloniale qui était derrière l’exil et la déposition du feu Sa Majesté le Roi Mohamed V en 1953, à cet effet,   il réunit à Telouete dans sa splendide kasbah  les grands Imgharnes et  les grands caids   de l’époque pour signer la pétition publique de déposition du sultan. L’émergence de Nationalisme réinstalla Le Roi   Mohamed V sur le trône comme Roi légitime, en 1956 le Maroc retrouva son indépendance, le dernier seigneur de l’Atlas meurt et ses biens sont confisqués. Ses kasbahs et celles de ses suzerains sont laissées à l’abandon, elles s’écroulent faute de l’entretien.  Le Temps  vengeur, ironie du sort et de l’histoire  !! Au début de siècle l’armée de Thami Elglaoui , munie du canon Krupp offert par le sultan Moulay Hassan I détruit plusieurs Kasbahs à coup d’artillerie pour soumettre le bled Siba aux  Français. Le problème climatique vient s’ajouter au politique, les pluies violentes menacent les Kasbahs déjà en détresse, et à cela s’ajoute l’exode, elles ne sont plus habitées, désormais  elles abritent plutôt des fantômes de l’époque coloniale. Le problème doit être pris au sérieux pour sauver ces merveilles, ces joyaux, et ces plus beaux spécimens de cette remarquable architecture de terre. Il faut prendre conscience de la valeur de ces chefs d’œuvres, nous n’avons pas le droit d’assister passivement à la destruction de notre histoire, de notre civilisation,  de notre culture. Ces kasbahs doivent être bénéficié d’un programme d’aide pour  permettre une restauration dans le respect des procédés anciens de construction. Les associations doivent multiplier les actions, les initiatives et surtout les appels et les SOS  de détresse pour amener les pouvoirs publics à élaborer un véritable plan d’action et de restauration de ces kasbahs laissées  quasiment à l’abandon .Agissons-nous avant qu’il ne soit  trop tard et  ne deviennent des amas de terres !!! Si rien n’est fait, leur centenaire est fort probable de ne pas être  célébré. Le Vicomte Charle de Foucault  de passage dans la région de Dadès   aux environs de 1888  décrit ces chefs d’œuvres dans son ouvrage « Reconnaissance au Maroc »  comme les meilleures réalisations de l’histoire humaine Les grattes ciel  de l’époque !!! Ali Haddouchi Dadès infos    




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Les grattes ciel de l’époque !!!
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